Mes poèèmes <3

Ecoute bien le son que fait mon petit coeur,
A cet instant, c'est pour toi qu'il bat mon âme-soeur,
Met ton oreille sur mon coeur et écoute bien.
L'entends-tu ? Il bat si fort juste pour le tien.

Chaque soir, je rêve d'être au creux de tes bras,
Pour sentir la chaleur de ton corps près de moi,
Pour m'endormir auprès de toi, mon bien-aimé,
Je rêve d'un futur avec toi, ma moitié.

Chaque jour, chaque minute, je pense à toi,
Nos longues conversations resteront en moi,
Chaque instant de mon existence tu me hantes.

Pour l'éternité, tu seras mon âme-soeur,
Ecoute les battements de mon petit coeur,
Il essaie de te dire une chose importante :
"Je t'aime"

J'ai longtemps cherché une personne tel que toi,
Celui capable de m'offrir bonheur et joie,
A qui je pourrais confier sans crainte mon coeur,
Et qui à jamais, restera mon âme-soeur.

Tu es l'unique, mon élu, mon seul amour,
Et je le sais, je t'aimerai pour la toujours,
C'est pourquoi jamais je ne t'abandonnerai,
Tu es tout pour moi, mon précieux, mon bien-aimé.

Près de toi ou loin, mon amour ne change pas,
Aussi fort et grand que tous les dieux et les rois,
Il demeure dans mon coeur, immense et fier.

Grâce à toi, je vis, je respire, tu es mon air,
Même si je ne suis pas là à tes côtés,
Sache que mon coeur, invisible, est là, tout près.

Le monde pourrait s'effondrer, frôler la mort,
Mes sentiments pour toi resteront toujours là,
Invisibles au yeux de tous, et pourtant si forts,
Gravés dans mon coeur pour toujours ils sont en moi.

J'aimerais être une étoile dans ce ciel noir,
Pour pouvoir te contempler quand tu dors le soir.
J'aimerais être une petite étoile en ce jour,
Rien que pour pouvoir veiller sur toi mon amour.

Même si tu me dis que tu m'aimes, j'ai peur,
Peur que tu ne ressentes plus rien envers moi,
Mais sache que je suis amoureuse de toi.

Je rêve de l'instant où je pourrais te voir,
Prendre dans mes bras celui en qui je peux croire,
Tu es le seul, le seul à qui j'offre mon coeur.

Les flocons de neiges virevoltaient dans l’air,
Recouvrant le sol, refroidissant l’atmosphère.
Nous étions le soir au réveillon de Noël,
Et Givrali, seul, observait le sombre ciel.

Couché sur le dos, il ne sentait pas le froid,
De la neige de la glace il était le roi.
Un roi solitaire cachant son cœur de glace,
Seul et abandonné il n’avait pas sa place.

Autrefois il était choyé et adoré,
Aujourd’hui, il était invisible et glacé.
Avançant d’un pas nonchalant contre le vent,
Il contemplait le divin paysage blanc.

Il aurait aimé trouvé un dresseur gentil,
Avec un immense cœur, qui voudrait de lui,
Lui rappelant que jamais seul il ne sera,
Demeurant dans sa Pokéball comme un vrai roi.

Il vit un bonnet rouge sous sa patte frêle,
Il le reconnu, le bonnet du Père Noël.
Il vit une silhouette sur la colline,
Tendant avec une main confiante, un Poffin.

C’était le Père Noël, il lui souriait.
Derrière lui, plein de Cerfrousses il y avait.
Le Pokémon glace s’approcha du traîneau,
Sûr qu’il venait de rencontrer son seul héros :
Le père Noël.

Refrain (les deux) :
Je t'ai cherché parmi tant de regards, en vain.
Nous voilà enfin, réunis main dans la main,
Nous voilà enfin, nageant dans le pur bonheur,
Nous voilà enfin, tout près de nos coeurs.

Fille :
Il avait dans ses yeux cette étrange lueur,
Aux reflets bleutés et éclatant de bonheur.
Une lueur étrange mais si attirante,
D'une rare beauté, hypnotisante.

Gars:
Elle avait sur son visage, cet air angélique,
Et ce sourire timide mais magnifique,
Elle était la seule capable de me dompter,
Et prenait un réel plaisir à garder son secret.

Refrain (les deux) :
Je t'ai cherché parmi tant de regards, en vain.
Nous voilà enfin, réunis main dans la main,
Nous voilà enfin, nageant dans le pur bonheur,
Nous voilà enfin, tout près de nos coeurs.

Fille :
C'était une immense et violente vague bleue,
Qui nous avait emporté lui est moi ici,
Nous emprisonnant à jamais dans ce grand feu,
C'est cette flamme au fond de moi qui s'agrandit.

Gars :
C'était la flèche magique de Cupidon,
Qui nous avait mis sur le chemin de l'amour,
Gravant pour l'éternité dans mon coeur son nom,
Reliant les fils de nos destins pour la toujours.

Refrain (les deux) :
Je t'ai cherché parmi tant de regards, en vain.
Nous voilà enfin, réunis main dans la main,
Nous voilà enfin, nageant dans le pur bonheur,
Nous voilà enfin, tout près de nos coeurs.
Nous voilà enfin...

Reste, je t'en pris, ne me laisse pas seul ici.
Réveille-toi n'amour de ce profond sommeil.
Ne pars pas de ce monde remplis de merveilles,
Ne me quitte pas pour aller au paradis.

Je ne te le pardonnerais pas si tu meurs.
Si tu pars, tu briseras à jamais mon coeur.
Comment ferais-je pour vivre sans ma dulcinée ?
Pardonne-moi mais je ne peux pas te laisser.

Si Cupidon ne veut pas te sauver de ça,
Si toi tu ne veux pas revenir près de moi,
Alors c'est moi qui te rejoindrais dans les cieux.

Couteau pointé vers le coeur, je n'ai peur de rien.
Dans peu de temps, je te rejoindrais dans ce lieu.
Voici la dernière seconde avant la fin...

La Marche des Ombres

Le bruit de leur pas martèle dans ma tête,
Je le sais, je le sens ça va être ma fête.
La mort veut m'arracher, m'emporter,
M'emprisonner, me torturer, m'effacer.
Mais je ne me laisserai pas avoir
Je chante haut et fort pour que la mort s'en aille
Je ne me laisserai pas aller il faut y croire
Je ne veux pas me retrouver sur les rails.

REFRAIN :
Mais la Marche des Ombres est toujours là,
Toujours présente là ou je vais
Je le sais maintenant elle ne me lâchera pas
Indifférente à mes supplices elle reste à mes côtés
Et pourtant je sais que je pourrais un jour
Ce qui ne m'empêche pas de fuir, et je cours.

Je ferme les yeux, mets mes mains sur mes oreilles
Mais mes efforts échouent, tout est toujours pareil.
Je ne veux pas mourir, pas encore
Je suis bien trop jeune et fort.
Je veux regarder la mort dans les yeux
Lui dire que je ne veux vraiment pas
Que je veux vivre, vivre heureux
Même si je sais que rien ne l'arrêtera.

REFRAIN :
Mais la Marche des Ombres est toujours là,
Toujours présente là ou je vais
Je le sais maintenant elle ne me lâchera pas
Indifférente à mes supplices elle reste à mes côtés
Et pourtant je sais que je pourrais un jour
Ce qui ne m'empêche pas de fuir, et je cours.
C'est la Marche des Ombres...