L'Archipel du dingue

Invité

L'archipel du dingue est une archipel très peu connu ou vit un savant fou qui s'amuse à torturer tous ceux qui viennent sur l'île central. Le plus gros problème c'est que les ponts sont très petits (largeur 10 cm , longueur 300 mètres)
Le savant fou vit dans un château sur l'île central. C'est une mi-femme mi-Arbok.
Si vous croisez des ginjikas, c'est très certainement des hologrammes.

Glacia sourit amèrement et passa, la tête haute, devant la femme-Arbok. Elle savait rester fière et se contrôler parfaitement dans ses genres de conditions. Elle s'assit dans un fauteuil prestement.

- Je vous remercie de votre proposition, chère... Nelly ? Oui, Nelly. Mais quelque chose me dit que je ne survivrais pas, voyez-vous.

Elle fixa son ventre.

- A moins que vous arriviez à me faire vivre sans foie, sans estomac et sans côtes...

Elle s'enfonça encore plus profondément dans son fauteuil.

*Je l'ai déjà fait avec un homme Rattata mais il est décéder au bout de 10 heures... * pensa la femme Arbok.

Tout le monde s'installa et Eldor et Elena racontèrent toutes l'histoire.
A la fin, la femme Arbok résuma :
-en clair, les Légendaires sont revenus et ils veulent détruire tout ?
-Oui...
-Très bien. JE vais vous aider. Après tout, je suis aussi une scientifique, et la science dépasse le domaine des dieux. C'est un peu un affront qu'ils revienne...
Eldor transpirait beaucoup. Il ce demandait si l'état mentale de la femme Arbok n'avait pas empirer. Elle était déjà folle quand ils ce sont rencontrer, mais elle n'était pas dangereuse. Ou du moins, pas beaucoup.
-Si on veut ce battre contre les légendaires , on ne peut faire qu'une seule chose. Il faut LES appeller.
Avant même que quelqu'un ne puisse demander qui étaient ce "LES", la femme Arbok partit , empruntant un escalier puis revint, les bras chargé d'un énorme livre noire avec écrit en rouge dessus "L'histoire qu'on n'apprend pas à l'école."
-Il faut que je vous explique. Tout ce qu'on nous à étudier quand on était jeune c'était des conneries. Au début , les Gijinka Légendaire vivaient sur terre.
-Ca on avait compris...
-La ferme ! Mais nous, petits gijinkas, avions soif de pouvoir. Alors on a fondé une armée, la plus grande et la plus puissante que la Terre est jamais connue. Et on a tenter de tuer les dieux. Un ou deux sont mort, et au dernier moment, alors qu'étrangement Arceus n'avait rien fait, une faille est apparue et les Gijinkas Legendaire ont pris la fuite en traversant la faille. On ne les as plus jamais revu. Mais au cas où , on a fondé une université sur une archipel très reculée. L'Universitée Shibusen. Les 15 meilleurs combattants étaient des professeurs et les enfants qui avaient un don y étaient envoyées. C'est comme ça encore aujourd'hui, mais très peu de gens le savent. Ces gens s'entraînent chaque jours pour nous protéger en cas d'attaque de pokémon Legendaire. Et nous devrions les contactés, car eux seuls pourrait nous aider à les battre. Mais le problème c'est qu'ils vivent sur une archipel très reculé, et que vous semblez tous très...Fatiguées.

Kailla fixait son bras coupé d'un oeil rempli de fureur. Il lui semblait qu'un membre de sa famille avait été élève de l'Université Shibusen, autrefois. Elle serra le poing.
*Les légendaires ont envahi tous les archipels sauf celui-ci. ... Je n'ose même pas imaginer le nombre de morts.*
La Gijinka-Carmache se leva.
-Bien peu importe la distance et le temps que ça mettra, on atteindra l'Université. D'ailleurs, y'avait pas un passage sur l'Archipel Kan Icule ?

Jack, étant resté silencieusement les bras croisés jusqu'à maintenant, intervînt :

-Mon grand-père avait rejoint cette université, il me semble... Cela semble mieux que de rester à ne rien faire...

Il fronça le sourcils, d'un air des plus sérieux.

-D'ailleurs, je ferais bien d'utiliser mon pouvoir d'éclaireur pour voir la situation sur d'autres archipels, il y a peut-être des survivants, comme Collins. Ce gars est inbattable, j'ose espérer qu'il s'en est sorti lui et d'autres personnes... Puis-je me retirer dehors pour faire un état de la situation ?

Glacia se leva d'un bond et ses côtes la firent souffrir une fois de plus, mais, fidèle à son habitude, elle n'en fit rien paraître. Son visage était neutre, malgré la douleur qui lui arrachaient les membres et le ventre. Elle désigna Kailla ardemment et ajouta à sa réponse :

- Je suis d'accord avec elle, si il faut y aller, j'irais, coûte que coûte. Certes, peut-être pas ce soir, car il faut admettre que je suis exténuée. Mais est-ce que quelqu'un m'a déjà vue souffrir le martyr ?

Elle fixa les Dacota avec un regard brûlant, puis, sans transition, s'approcha de la table et ouvrit le livre. Elle lut la page qui venait et le referma avec autant de violence qu'elle l'avait ouvert. La femme-Givrali croisa alors le regard de la femme-Arbok, et frissonna. A l'instant où elle l'avait vue, elle avait eu peur d'elle, et cela ne cessait d'accroître. Elle détourna les yeux, recula tranquillement et s'assit à califourchon sur l'accoudoir du fauteuil sur lequel elle s'était assise.

La femme Arbok resta pensive un instant. Elle avait devant elle un Etouraptor sans doute fou qui semblait vouloir sortir dehors, une femme-Givrali qui semblait être terrifié dès qu'elle la regardait et une bande d'autres personne pour l'instant inintéressante. Normalement, elle ne devrait pas laisser quelqu'un de blesser partir, mais la situation l'amusais beaucoup.
-Vos blessures sont assez profondes, mais vous devriez pouvoir....Vérifier l'état des lieux puis revenir sans problèmes.

Jack hôcha la tête, et quitta la pièce pour aller dehors, fît une dizaine de pas, vérifia que la zone et le ciel était bien dégagé, et dégaîna l'un de ses bâtons noirs, qu'il empoigna à deux mains verticalement.

-Exploration céleste, ACTIVATION !

Jack planta son bâton noir dans le sol, à genoux, et une forte lumière blanche entoura l'Homme-Etouraptor qui rentra en transe, ses yeux fermés, ne lâchant pas son arme. Ainsi, il se sentît dans la peau d'un oiseau qui volait à la vitesse de la lumière, et pouvait voir tout lieu assez proche dont il connaissait la position. Il s'ens ervît donc pour regarder les différentes archipels des Dacotas... Et ce qu'il vît l'horrifia. Des milliers et des milliers de morts, de corps détruits, le QG d'Ameaurr démoli, et aucun survivant. A chaque archipel, Jack souffrait, des larmes de sang coulant de ses yeux, ressentant de la douleur pour chacun des morts, et aussi du désespoir. Il avait envie de lâcher prise, de ne plus voir ce spectacle empiré par la quantité énorme d'énergie que nécessitait cette technique, mais ne pouvait s'y résoudre : Il devait trouver, s'ils en existaient, des survivants, c'était son devoir en tant que Chef des Eclaireurs. Mais le pire fut l'Archipel Hauteur, quand il vît en direct Collins se faire transperçer le coeur et s'effondrer avant de disparaître. C'était la dernière archipel, et le résultat était...

Un peu plus tard, Jack rentra de nouveau dans la pièce, ses yeux encore ensanglantés, et mélangés à ce qui ressemblait à des larmes essuyés. Cependant, l'Etouraptor garda un visage digne et sérieux, et lança d'une voix se voulant la plus indifférente et simple possible, malgré la douleur intense qui le lanciner :

-J'ai fini ma recherche, sur toutes les archipels... Et j'ai cherché du regard les nombreux milliers de Dacotas qui composaient notre armée, et je les ai retrouvés. Il n'y a aucun survivant. Nous sommes les derniers.

Glacia regarda alors chacun des Dacota. Elena et Kailla, ses vieilles amies, Eldor, avec qui elle s'était liée sous peu mais avec qui elle s'était attachée, Leach, Jack et Mimie, contraints de se serrer les coudes malgré les différences. Et son regard s'arrêta sur Nelly. Une larme coula sur sa joue maculée de poussière, qu'elle essuya vivement. Elle s'approcha de Jack et lui tapota l'épaule, pour essayer de le réconforter, puis s'éloigna de quelques pas.
Elle se leva dans toute sa hauteur, reconsidéra les faits un à un puis lâcha finalement :

- Nous sommes les derniers. Dans la bataille finale, on devra donc se protéger mutuellement. Des pieds... (Elle s'agenouilla en montrant ses pieds) Jusqu'aux épaules. Chacun devra aider l'autre. Serrons nous les coudes, on peut avoir une chance de s'en sortir. Après tout, nous sommes... les Dacota, n'est-ce pas ?

Elle sentit la colère et les sanglots la secouer intérieurement mais resta forte.

Kailla reçut un électrochoc en apprenant la nouvelle.
-Au... Aucun survivant ?
Elle tomba lourdement dans son fauteuil. Si aucun Gijinka n'avait survécu, cela signifiait aussi... La femme-Carmache baissa la tête et ferma les yeux, laissant échapper de lourds sanglots. Si personne n'avait été épargné, alors forcément, toutes les personnes présentes dans cette pièce avaient perdu leurs familles, leurs proches. Tous ces innocents...
-...

Glacia prit très mal la mauvaise nouvelle. L'humeur de Kailla déteignit sur elle, et, sans trop savoir comment, elle se retrouva assise sur l'accoudoir du fauteuil à côté de Kailla, en train de pleurer. Elle releva la tête, essuya ses larmes avec le revers de sa manche, et se sentit... bizarre. Une envie de vomir, elle voyait très flou... Elle était tout d'un coup très fatiguée. Dans un dernier sursaut, elle posa la main sur l'épaule de Kailla et gémit :

- Kailla... Je... Vais... M'éva...

Et elle s'évanouit, tombant sur le sol comme une pierre.

Kailla releva Glacia et la reposa bien droite dans son fauteuil. Elle sècha ses larmes.
-Bon, alors, c'est quoi, le plan, pour aller à l'Université, maintenant qu'on est seuls au monde ?

La femme Arbok fronça les sourcils. Elle était plutôt fâché par le fait qu'il n'y ai aucun survivant, mais bon... Après tout, ce n'est pas comme si c'était des gens qu'elles appréciaient qui étaient mort.
Elle mit un peu de temps avant de répondre à Kailla.
-Je n'y ai pas encore réfléchie, je dois l'avouer.... Si il y avait assez de gijinka volant pour tous vous transportez, on pourrez y aller par la voie des airs. Les Légendaires seront trop occupés à tuer et à massacrer et on devrais y aller facilement. Si les éclaireurs supportent 5 heures de vols, évidement...Ensuite on devras parler au directeur de Shibusen... C'est un ancien Dacota, pour l'instant. Un rite stupide veut que tout les directeurs de Shibusen soient des Absol... Enfin, bref. Vu l'heure qu'il est, l'école doit être fermer. On ferait mieux de dormir et de partir demain matin à 5 heures du matin.

Si Jack restait impassible durant ce temps, il était en vérité rongé par la souffrance à l'intérieur, suite à ces horribles massacres qu'il avait vuet ressenti, tous à la suite. Mimie, la fille-Chenipan, assise par terre, regarda d'un air étonné Jack et demanda d'une voix douce et embuée par la surprise.

-Mimie : E-E-Et pour les habitants normals ? (notez la faute) Ils leur aient arrivés quoi ?

-Jack : Eh bien... La majorité semble avoir été capturée, les plus résistants, eux, se sont fait tués.

Mimie écarquilla les yeux et commença à frissoner, sanglotant de légères larmes. Prenant alors conscience de son éventuelle maladresse, Jack se précipita sur Mimie et lui posa doucement la main sur la tête. La jeune Gijinka le regarda et l'homme le lui rendît, puis eut soudain un déclic. Il repensa à sa conversation avec Eldor, à sa famille, à ses rêves et promesses, à elle... Il fronça les sourcils, puis fît un petit sourire démoniaque, qui surprît Mimie et ceux qui pouvaient le voir. Il se mît à ricaner tout doucement.

-Mimie : Qu'est-ce qu'il y a, monsieur ? Pourquoi vous rigolez ?

Jack calma son ricanement, puis leva son regard vers Mimie, un regard puissant et fier, à la confiance inébranlable. Ce qu'il avait été stupide de se comporter ainsi, rien n'était terminé, et surtout pas sa mission. Il se redressa et lança d'une voix fière et presque heureuse à la fois.

-Jack : Ne t'inquiète pas, ma petite, tout est loin d'être terminé pour ton peuple ! Car je vais les sauver, eux et tous ceux qui ont besoin de notre aide. Il est trop pour s'apitoyer, les gens ! On a perdu nos camarades et nos proches, c'est vrai, mais nous ne devons pas faiblir, afin de sauver ceux qui peuvent encore l'être ! Pour ma part, c'est décidé, je me battrais jusqu'à la mort pour protéger les miens, et toi y compris Mimie. Je ne laisserais plus personne crever sous mes yeux !

Mimie regarda Jack d'un air émerveillé et surtout ému, tandis que le commandant des Eclaireurs se tournait vers Nelly de son fameux sourire sadique.

-Vous avez dit cinq heures de route ? Ne nous prenez pas pour des débutants ! Nous sommes des éclaireurs, des circuits comme ça, on en fait cinq d'affilée avant le petite déjeuner. Blessé ou non, fatigué ou non, chargé ou non, ça nous arrêtera pas ! pas vrai, les gars !

-Eclaireurs : OUAIS !!!!

-Jack : Héhéhé, je sais pas pour vous, mais moi, je suis remotivé, alors faîtes c eque vous voulez, je suis prêt à partir quand vous voulez !

Elena intervint alors.
Elena:-Dites...Pour le directeur de Shibusen.Mon frère est un ex-Dacota et un homme absol...Vous pensez que...
Elle fronça les sourcils.
Elena:-Quoi qu'il en soit,le plus tôt sera le mieux.Mais je rejoins l'avis de la dingue,il faudrait partir demain à l'aube.

La femme Arbok murmura quelque chose d'inaudible, qui ressermblait à un mélange d'insulte et de "Je ne suis pas dingue".

Pendant ce temps Heisenberg, lui, essuyait une larme qui lui coulait sur la joue. Il ne connaissait pas grand monde chez les Kentucky, mais il ce disait qu'ils étaient surement tous morts. Visiblement les anarchistes ne survivaient pas longtemps.
Il bailla de fatigue.

-Moi aussi je pense qu'il faudrais tout de suite y aller. Après c'est vous qui voyez, mais je pense que les Légendaires seront trop occupés à massacrer les autres Gijinkas pour nous repérer ce soir. Demain ils auront peut-être tués tout le monde et ils seront plus attentifs.

Après avoir longuement débattu sur le fait d'aller à l'école Shibusen maintenant ou le lendemain , ils décidèrent finalement d'aller dormir quand ils comprirent que si ils partaient tout de suite ils arriveraient vers 2 heures du matin. Eldor ce leva un peu en avance. Il avait dormi très mal car il avait entendu...Comme si quelqu'un grattait le par terre en dessous de lui. Après que tout le monde ce soit levé, ils partirent vers 6 heures du matin. Les Eclaireurs volaient assez rapidement ce qui faisait que les pokémons avançaient vite. Ils étaient assez discret et passèrent très prudemment au dessus de la Legendary Archipel.
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Electhor était dans le palais d'Arceus. Il c'était endormi la tête contre le carrelage après le grand repas bien arrosé qu'avaient eu les Légendaires pour les féliciter de leurs carnage. Electhor était visiblement le premier à s'être réveillé. Il se souvenait qu'après qu'ils aient vérifier que tout le monde était mort il devait être une heure du matin, puis Arceus était venu le chercher. Il ce souvenait qu'il avait organiser un diner et qu'Entei et Raikou n'était pas là, Entei étant blesser et Raikou à son chevet, mais il ne ce souvenait de rien d'autre. Il décida de sortir pour voir si l'air frais aller lui rafraichir la mémoire. Lorsqu'il sortit, avec son carquois et son arc au cas ou, il écarquilla les yeux lorsqu'il vit de très loin, environs une bonne vingtaine de kilomètres, deux pokémons de type vol... Des survivants ! Il y avait des survivants ! Pendant une fraction de secondes, Electhor hésita entre s'élancer à leurs poursuite, les suivre tranquillement ou alors prévenir les autres. Il décida finalement de stopper leurs routes et de tous les tuer, vite fait bien fait.

L'air était frais et agréable.
Comme ils volaient assez loin de la Legendary Archipel ils étaient presque sur de ne pas s'être fait voir. Jack volaient devant, suivit par les autres Éclaireurs qui portaient les voyageurs. Le voyage paraissaient calme et sans problème, lorsqu'une flèche fonça vers l'Elcaireur qui portait la femme Arbok, qui l'esquiva, de justesse.

-Quelqu'un nous lance des projectiles ? S'étonna-t-elle

-Il y a quelqu'un derrière nous ! dit un Eclaireur qui portait Glacia et Kailla.

Quelque chose de jaune passa à côté du groupe à une vitesse si grande que les membres du groupes ne virent qu'un flash jaune, puis tout les pokémons vol s'arrêtèrent car quelqu'un leurs barrait la route.
Eldor fronça les sourcils en apercevant l'homme a la peau mat, aux cheveux blonds en bataille et aux yeux verts.

-Bonjour. J'ai pas put remarquer que vous voyagiez et comme ça me semble plutôt
suspect...
Il prit une flèche et banda son arc.
-...j'ai décider de vous arrêter.

Il tira vers Eldor qui esquiva la flèche, qui atterrit dans l'eau.

-Il n'empêche que décimer tout un groupe ce n'est pas marrant. Ca vous va si je vous tue un par un ? Demanda-t-il en sortant une autre flèche.

Eldor hésita puis il dit :

-Si je me bats contre toi, tu les laisserais partir ?

-Bien sur, mais je les rattraperais facilement dès que je t'aurais tuer, tu sais...

-Un combat à terre ça te va ?

Electhor grimaça. Il jugea son adversaire qui ne semblait être armé que d'un katana plutôt long. Il n'avait aucune arme de jet. Le tuer serais facile, même sur terre.

-Très bien. Posons nous sur l'archipel la plus proche.

-L'archipel la plus proche est à 2 kilomètres, et c'est l'Archipel Volcanique ! Dit Eldor, plutôt heureux d'avoir réussi son coup.

Furieux, Electhor fonça vers l'Archipel, suivi d'Eldor qui avnt de partir dit à ses compagnons de continuer la route sans lui.

-Il a l'air un peu faible...Et un peu stupide aussi, rajouta le deuxième chef des Dacotas.

Puis il partit vers l'archipel ou il atterri quelques minutes plus tard.

La femme Arbok hésita lorsqu'elle remarqua que personne ne bougeait puis elle dit :

-On devrais y aller, non ? Je suppose qu'il va 'en sortir...

Jack Harrison regarda Eldor et Electhor s'éloigner, et eut un petit sourire.

-Bien sûr, il a un Eclaireur à ses côtés, il pourra nous rejoindre dès qu'il en aura fini...

Un des Eclaireurs intervînt alors, d'un air désabusé.

-Eclaireur : Euh, Mister Jack, je pense qu'elle faisait plutôt référence aux chances de survie du Grand Chef Eldor face à ce légendaire...

-Oh, vraiment ?...

Jack eut l'air étonné sur le coup, mais se reprit vite, avec un grand sourire.

-Si ce n'est que ça qui ovus inquiète, ne vous inquiètez pas... Eldor est bien la dernière personne à mourrir dans cette guerre... Ce guignol légendaire n'a aucune chance de le battre... Bien, allons-y !

Et le groupe d'Eclaireurs reprît sa route.

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