Street Barbarians => Salon du Chef

*La décoration est....étrange, mais sympathique...*
Il s'assis, regardant autour de lui, observant les moindres détails et n'écoutant que d'une oreille.
*Qu'est-ce qui peut être aussi important à mon sujet pour que tout ce qui sois dit ici ne soit entendu et répéter par personne ?*
-D'accord...

"Bien sûr, Père, vous savez que vous pouvez me faire confiance !"

L'approbation de Nakia ainsi que celle d'Alex suffisiat à Jinchuu pour continuer. Il connaissait assez les deux autres pour savoir qu'ils ne diront rien. Il soupira un coup, resta silencieux un certain moment, puis en fixant ses interlocuteurs, se lança.

"Voyez-vous, jeunes gens, ce jeune garçon, Alex, vient d'ailleurs, d'au-delà les montagnes, dans un pays qui se nomme l'Amérique."

"Quoi ?! Mais qu'est-ce que ça signifie ? Vous, ainsi que ceux qui revenaient de lointaines explorations, nous avez toujours dit que le Monde s'arrêtait à nos montagnes, et qu'il n'y avait rien par delà ces dernières !"

"En effet, je susi au regret de vous dire qu'on vous avait menti. Bien que l'on se doutait qu'il y avait un monde par delà le nôtre, les montagnes restaient impraticables et dangereux. Tout ce que gagnerait un habitant à vouloir les traverser serait la mort. C'est pour cela que j'ai fait croire qu'il n'y avait personne au-delà, afin que certains fous n'essaient pas de les traverser au péril de leur vie. Par ailleurs, certains ont réussi à aller assez loin pour découvrir la vérité. Mais ils sont une vraie minorité, et pour le bien de notre communauté, je leur ais expliqué la sitaution, et ont accepté de garder le secret. Dimitri et Lester, les deux hommes ici présents, en font partis."

"Tu aurais pû me prévenir tout de même, je suis ta fille !"

"Tu es encore jeune et pleine de fougue, ma Nakia. j'ai pensé qu'il était trop tôt pour toi pour que tu l'apprennes. Néanmoins, la rencontre avec cet Alex m'a bien obligé à tout te révéler, à toi aussi. Bien, Alex, comme tu viens de l'entendre... Les montagnes sont impraticables, et je suis au regret de te dire que tu ne pourra sans doute jamais retourner chez toi."

Alex grimaça. Il ne verrait plus jamais sa famille, ni ses amis. Il seras forcer d'habiter dans ce petit village. Plus jamais il ne sentirais l'odeur de l'essence que dégage toutes les villes d'Amérique, plus jamais ils ne verrait des monuments immense pleins d'histoire qu'on trouve, aussi, dans presque toutes les villes d'Amérique. Il serait forcer de rester coincer à jamais dans ce monde à part.
*Dites moi que c'est un cauchemar, c'est impossible, si j'ai réussi à arriver jusqu'ici je pourrais retourner chez moi, du moins si on m'accompagne....Ce qu'ils ne feront surement pas... Je vais devoir vivre ici... Les gens ont l'air sympathique, mais ce ne seras pas comme avant. Mais bon. Je suppose que je n'ai pas le choix.*
Alex se tourner les pouces. Ils faisaient toujours ça quand il été nerveux. Ça le calmait un peu.
-Je vais rester coincer ici, d'accord...Mais ou vais-je vivre ? Je n'ai aucun endroit où dormir !

Jinchuu le regarda fixement, puis attendît la fin de sa phrase pour lui répondre :

"Je suis désolé pour toi, mais oui, tu devras rester ici à jamais, sans doute... Quand à ton lieu d'habitation, on aura bien l'occasion de te trouve rune maison abandonné pour que tu t'y installes, ou bien un habitant qui voudra bien t'héberger. D'ici là, tu dormira ici, dans le manoir, étant donné qu'on a de nombreux chambres vides. Par ailleurs, je vient de de le dire, mais si un gars inconnu se pointe comme ça dans le village, cela va éveiller des soupçons. Voilà donc l'histoire que vous quatre devraient répandre sur Alex : C'est le fils d'un couple d'ermites qui avaient il y a longtemps quitté le village pour vivre seul. Finalement, il y a quelques jours, il s'est cogné à la tête et a été victime d'amnésie : Il se souvient juste qu'il s'appelle Alex, de son âge et que ses parents étaient morts. Ainsi, Nakia l'ayant recceuilli dans la forêt, la famille principale a décidé qu'il vivrait en sécurité dans le village. Cette histoire devrait éviter tout problème contrevenant, je vous demanderais donc de la respecter. Cela vous va-t-il, que l'on puisse passer au dernier point ?"

"Eh bien... Pour ma part, c'est okay !"

*C'est une histoire un peu trop....Étrange pour que tout le monde y croit. Quelqu'un les auraient forcément croiser, c'est impossible d'être un véritable ermite qui n'a jamais étais vu par les autres, tout le monde ce poseras des questions.... Mais bon, il vaut mieux ne pas contredire le chef du village.*
-C'est d'accord...
Il arrêta de ce tourner les pouces.
*Le chef doit bien connaître les habitants du villages... Il doit savoir ce qu'il fait.*

Alex examina la pièce. Les murs était gris pâle. Il y avait une fenêtre avec des rideaux blanc. Le lit était très beau, les draps étant noirs et les oreillers blanc.
*On jurerais qu'ils connaissent mes gouts par cœur...*
Il retira ses chaussure et ses chaussettes.. Ces pieds étaient endoloris. Il saignait à quelques endroits du pied, et avait de nombreuses ampoules. Il fouilla dans son sac et retrouva des habits qu'il mettrait demain puis il posa le sac vert, après avoir chercher son mp3 sans succès.
*Couper de la technologie pour toujours.... Pourquoi j'ai pas prit mon mp3, pourquoi ?!? Je parie qu'il n'ont pas de CD... Ils semblent s'être arrêtées à l'âge de fer..... Oui bon, j'exagère.*
Il ce déshabilla et roula ses affaires en boules, pour ce retrouver finalement en caleçon. Il ce coucha sur le lit, ce couvrant la couette jusqu'au nez. Il n'arriva pas très bien à dormir , car il était habituer à écouter de la musique tout en s'endormant. Lorsqu'il s'endormit, il rêva du monde technologique, de pouvoir tenir un vieux disque des Wham! ou de pouvoir simplement être assis sur un canapé en regardant la télévision.

[Sorry d'avoir effacé la fin de ton post, mais ça m'arrangeais pas du tout que tu fasses le réveil, vu que je veut mettre la fin du chapitre maintenant >>]

Il y a une semaine de ça, dans un coin de forêt éloigné dans le Nord du massif, un homme courait, courait, courait sans cesse, comme si sa vie en dépendait, le pire étant que c'était vraiment le cas. La pleine Lune était la seule lumière qui permettait à cet homme de s'orienter, afin de ne pas se prendre trop de buissons ou de racines. Les animaux qu'il croisait s'enfuyaient en courant, mais là encore, on peut se demander si ce n'était pas plutôt la chose juste derrière qui les faisaient fuir. L'homme avait des habits de domestique en lambeaux, de la sueur et de la boue de partout, et il haletait comme-ci il courait ainsi depuis des jours. Le pire dans ce contexte horrible était sa plaie à la hanche, qui saignait abondamment, et le domestique devait appuyé ses mains contre sa blessure pour pas qu'elle ne coule trop. Boitant, pleurant, il jetait parfois des coups d'oeil horrifiés derrière lui pour voir pour vérifier que son prédateur ne le suivait plus. Il continuait néanmoins à courir, trop terrifié pour prendre le temps d'une pause. Il n'osait point appeler à l'aide, au risque de se faire repérer, et les chances d'une présence amicale dans cette zone était quasi nulle. Soudain, une lame passa, et ses jambes furent tranchées au niveau des cuisses. L'homme hurla désespéremment de douleur, et continua à ramper au sol, une main sur sa plaie, le coude de l'autre bras lui servant à avancer doucement, essayant vainement d'échapper à son sinistre sort. Il sentait la présence son chasseur juste derrière lui, marchant malicieusement à sa suite, attendant qu'il s'épuise comme la proie d'une chasse à la cour. S'il l'aurait voulu, i laurait pu se retrouner pour voir ce monstre qui voulait lui ôter la vie, mais ce qu'il vivait depuis un moment l'en empêchait. Son corps tremblant finit par s'écrouler, et à bout de forces, il tourna ses yeux effrayés vers son poursuivant, qui leva son arme au-dessusde l'homme, et lança d'une voix résonnante et aigüe, à la fois étrange et terrifiante.

"Je te tiens enfin, vil être. Il est temps pour toi de rejoindre le Shinigami !"

L'homme écarquilla les yeux alors que la chose lui faisant face abattait son arme sur lui, et la seconde d'après, un hurlement assourdissant résonna dans la forêt.



Fin du chapitre 1.