D gray-mon : Saison 2.

Jerebip savait qu'il avait un avantage,lors de ses périples de Ranger,il a souvent fait face au Quatuor Go-Rock,il connaissait donc bien Kevin et Cizayox,Jerebip savait que Cizayox était rapide alors il fallait mieux lancer des coups précis:
-Pingoleon!Griffe Acier![i]

Pyro se mis à chercher à toute vitesse quel mouvement Drago pourrait utiliser. Il eût alors une idée originale.
*Mais... Sa lame racle le sol à la verticale... Combiné au bitum retourné par l'onde de choc... Eurêka !*
Il fit de nouveau un saut vertigineux et retomba en bloquant le membre métallique de Drago entre ses pieds, une nouvelle fois. Il se mis à mouliner des bras dans le bon sens pour tourbillonner encore une fois. Au bout de quelques minutes, la lame de métal était littéralement enfoncée et bloquée dans le sol.

Flash-back.

Hans, jeune reporter. Son Brasegali est connu pour sa puissance et sa rapidité extraordinaires, dû à un niveau surélevé, et un talent certain pour son dresseur. Néanmoins, ce dernier n'est pas si fort que ça. Dès ses premiers jours à l'école, il fut en difficulté, bien en-dessous les autres élèves. Si faible... Tous ses rêves de dresseur et de journaliste allaient-ils être détruits à cause son manque de talent ? Eh bien, non. Car Hans s'est battu. Il a travaillé jour et nuit, s'entraînant sans cesse avec son Poussifeu, révisant sans cesse ses cours. Il est devenu un véritable travailleur acharné, et grâce à cela, il a remonté au niveau des autres élèves. Mais il n'a pas cessé de travailler sans relâche pour autant. Se reposant peu, il finît à l'âge adulte par devenir un excellent dresseur avec son Brasegali, et à l'université, il devient le major de sa promo'. Ayant eu très rapidement le poste de journaliste dont il avait toujours rêvé, et étant devenu un dresseur hors-pair, il n'a pas pour autant cesser de s'entraîner, pour encor eet toujours progresser, malgré sa faiblesse initiale.

Fin du flash-back.

Hans fixa d'un oeil noir la jeune Kaithlyn qui se plaignait de sa nullité, de sa faiblesse... Il grinça des dents, et lui cria :

-Hans : Eh ! Tu n'as pas fini de pleurnicher comme ça ?! Pourquoi te plains-tu de ta faiblesse initiale ? Pourquoi ne fais-tu pas d'immenses efforts, afin de remonter au niveau de tes compagnons ?

Kaithlyn fut étonnée d'une telle réaction de la part de son adversaire, et baissa les yeux, répondant avec humilité.

-Kaithlyn : Mais tu ne peut pas comprendre, toi ! Tu ne sais pas ce que c'est que d'être une personne aussi minable que moi...

-Hans : Tais-toi ! Je le sais très bien ! Moi aussi, dans ma jeunesse, j'étais un minable insignifiant... Mais il existe une solution évidente à cette équation ! Il ne faut pas t'apitoyer sur ton sort, cela ne fera que t'enfoncer encore plus ; ce que tu dosi faire, c'est te battre pour tes rêves, et que, quelque soit ton talent, tu utilises toute ton énergie pour être à la hauteur de tes ambitions !

-Kaithlyn : Mais... Mais regarde, mon Camérupt n'a rien pû faire contre toi... Comment veut-tu que je batte un ennemi comme toi ?!

-Hans : M'enfin...

Il fronça les sourcils, et prît un air sérieux, en désignant le Camérupt, quasi KO.

-Dis lui de se relever. Dis-lui de se relever et de se battre pour sa maîtresse, comme toi tu le fais pour tes frères. Bats-toi, relève-toi... Quels que soient les coups et les obstacles !

Kaithlyn le fixa, émue, et sécha ses larmes, avant de se redresser, puis elle prît un air téméraire.

-Kaithlyn : Oui, tu as raison ! Je dois me battre pour mes sentiments, au moins pour montrer à quel point ils comptent pour moi ! Allais, Camérupt, vas-y !

Celui-ci se releva avec difficulté, mais prît le même air que sa maîtresse. Hans eut un sourire. C'était plus fort que lui, bien qu'elle soit un adversaire, il ne pouvait pas laissé tomber une personne qui a les mêmes soucis que lui a eu auparavant. Néanmoins, il ne se retiendrait pas sur ce coup décisif.

-Allons-y, Brasegali, faisons éclater nos sentiments ! Attaque Pied Brûleur une troisième fois !

-Kaithlyn : Tu peut le faire, Camérupt ! Attaque... Bélier ! A toute puissance !

Kaithlyn joua un morceau de violon, et Camérupt fonça à toute vitesse sur le Brasegali, et le choc de leurs attaques fît trembler la salle dans une explosion démentiel. La fumée s'évapora, et Kaithlyn regarda la scène : Son Camérupt était KO, mais le Brasegali de Hans était assez amoché également. Elle soupira.

-Hans : Ce coup était très puissant. Si Camérupt aurait pris le dessus, il aurait pu vaincre mon Brasegali...

-Inutile de me rassurer, il est clair que mon Camérupt était bien moins puissant que ton Brasegali.

Hans fixa Kaithlyn d'un air triste, cette dernière fixant le sol en serrant le poing. Mais finalement, elle releva fièrement la tête, son premier sourire aux lèvres depuis le début du combat.

-Et c'est pour cette raison que moi et mon Camérupt, on s'entraînera inlassablement, afin qu'un jour, on te foutte une raclée, hé hé !

Hans sourît à cette nouvelle, heureux de voir que ses paroles avaient portés leurs fruits. Soudain, des bruits de pas se firent entendre derrière Hans, et Kénan arriva en courant du couloir, passant à côté de Hans sans même le regarder, et arriva devant Kaithlyn, désespéré.

-Kénan : Ne me dis pas que toi aussi, tu t'es fait battre ?!

-Kaithlyn : Si, malheureument... On ferait mieux de prévenir Killian, et de voir si Kévin se débrouille, non ?

-Kénan : Tu as raison... Allons-y !

Kaithlyn rappela son Camérupt, et les deux membres du quatuor Go-Rock s'élancèrent dans le couloir menant à la salle des machines, et Hans s'apprêtait à les suivre, quand soudain Nick arriva en courant peu après. Il regarda avec fierté Hans.

-Nick : T'as vaincu ton adversaire, toi aussi ?

-Hans : Ouaip... Jerebip n'y arrivera pas seul, n'est-ce pas ?

-Nick : Non, je ne pense pas... Nous ferions mieux de lui apporter notre aide.

-Hans : Oui... Allons-y.

Et ils coururent à la suite du Quatuor Go-Rock, afin de rejoindre Jerebip.

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Kévin eut un sourire simple. Si Jerebip les connaissait bien de par les combats qu'ils avaient effectués, il en était évidemment de même pour le Quatuor Go-Rock, et Kévin savait qu'il miserait plus sur la ruse et la précision que sur la puissance, celle-ci n'étant pas son point fort. Il joua de sa guitare avec cette classe que seul lui savait exécuté, et lança ces mots d'une voix grave mais détendu.

-Kévin : Cizayox, Coup Double.

Le Cizayox s'exécuta, et bloqua avec son premier coup le Griffe Acier du Pingoléon, dans une collision aigue, et enchaîna avec le deuxième coup, frappant l'oiseau à l'abdomen, ave cun coup asse zpuissant pour le déstabiliser. Kévin joua un nouveau morceau.

-Cizayox, enchaîne avec Lame d'Air.

Et le Cizayox tenta une redoutable attaque Lame d'Air sur le Pingoléon déséquilibré.

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Colossinge fronça les sourcils et fonça à toute vitesse sur le Riolu ennemi, provoquant une grosse collision lorsque le poing de feu et celui de Colossinge se cognèrent entre eux. Le singe fronça les sourcils, et tourna sur un pied, pour essayer de donner un puissant coup de pied au visage de Riolu avec l'autre.

-Colossinge : Prends ça !

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Florior fronça les sourcils, s'apprêtant à répondre négativement à Pazo, quand le gros homme leva son arme vers les deux héros en s'apprêtant à tirer.

-Gros homme : Vous complotez entre vous deux, c'est ça ? Pour tous nous tuer, hein ? Je ne vous laisserais pas faire !

Et la balle partît. Mais elle ne toucha pas Florior ou Pazo. Ce n'était même pas celle de l'homme obèse. Cette balle venait d'un fusil à lunettes, et fonça droit dans le crâne du gros homme, dont la tête explosa, et qui s'écroula lamentablement... Dans le vide, son corps disparaissant. Le tireur était un jeune homme, un peu plus loin sur la droite, aux côtés d'une feme en pelurs, qui tenait fébrilement un pistolet. L'homme qui accompagnait l'homme obèse regarda ce dernier, apeuré, et lâcha son arme en levant les mains.

-Homme : J'abandonne, d'accord ! Mais pitié, laissez-moi la vie sau-

Avant qu'il ne puisse finir sa phrase, il se prît également une balle en pleine tête, toujours provenante de l'arme du jeune homme, et tomba dans le vide, tout comme l'autre. Florior se tourna, enragé, vers le jeune homme.

-Qu'est-ce que tu as fait ?! Je te suis reconnaissant de m'avoir sauvé, mais pourquoi as-tu tué l'autre également ?!

-Jeune homme : La ferme ! Je n'ai jamais dit là pour vous sauver. Je les ais tués, car ce sera moi et cette femme, les deux survivants.

Riolu reussi a bloqué le pied avec ses mains, puis se mit a horizontale te frappa violemment son adversaire de ses deux pieds. Le choc propulsa riolu qui atterit sur une poubelle

-J'ai la force de es deux amis je te rapelle.

Riolu tendit ses deux poings vers le singe

-Crève ! Babouin !

Une rafale de feu et d'eau surpuissante partit vers collosinge. Riolu avait utilisé tout le pouvoir que lui avait donner ses amis, qui etaient presque KO a cause du transfert d'energie

*Esperons que ca marchera*

Riolu tira un pisto poing dans la rafale pour que le collonsinge ne puissent contrer a la fois la rafale et le pisto poing

Pazo réfléchit puis dit :
-Et si personne ne meurs, qu'est-ce qu'elle pourra faire ? Elle ne peut pas tous nous tuer, sinon ce serait déjà fait, non ? Tout ce qu'elle veut, c'est nous voir nous entretuer. D'ailleurs, si il y a deux survivants, elle ne les laissera surement pas partir. Elle les tuera.

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Liouliou allait donner un coup de hache pour couper la chaîne, lorsque la chaîne qui été déjà emprisonner par la glace ce libéra et ce planta dans l'autre jambe de Liouliou.
-Bas.
Lorsqu'elle prononca ce mot, les chaînes d'Akira ce mîrent à tirer Liouliou vers le bas, et ce tellement fort qu'il finit étaler par terre.

Cizayox se prît l'attaque de plein fouet, mais avec une vitesse extrême, se releva et esquiva les Bulles d'O. Kévin devait combattre avec prudence. Jerebip n'avait pas encore utilisé son capstick. Il était évident que son adversaire voulait affaiblir un maximum son Cizayox afin de rendre sa capture de Ranger plus évidente. Mais il aurait vaincu le Pingoléon avant ça. Il joua un nouveau morceau.

-Cizayox, attaque Tranche-Nuit !

Le Pokémon lança sa redoutable attaque sur le Pingoléon, à une vitesse fulgurante.

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Dark Colossinge fut légèrement déstabilisé par les pieds de Riolu, mais se reprît rapidement, et ricana.

-Dark Colossinge : Et moi, je te rappelle que j'ai sorti mon mode Dark. Tu n'as aucune chance contre moi, même avec ta puissance et celle de tes deux amis réunis, et à leur maximum !

Dark Colossinge s'apprêtait à parer ces attaques combinés avec ses poings, quand soudain, Nostenfer, qui s'était relevé, le prît par surprise sur le côté droit et tenta une terrible attaque Aile d'acier. Celle-ci ne fît qu'une légère égratignure, mais Dark Colossinge, surpris, se tourna vers son nouvel adversaire, et se prît de plein fouet l'attaque de Riolu, qu'il avait oublié sur le moment. Il y eut une grande explosion, et le clone était au sol, presque KO, fixant avec haine ses adversaires.

-Nostenfer : Eh, le chimpanzé ! T'as pas de tripes ou quoi ? Niark niark...

-Dark Colossinge : Tu vas voir... Tu... Tu crois vraiment...

Il se redressa, une terrible aura brune échappant de son corps. Il leva un regard noir et fou de rage vers ses adversaires.

-Tu crois vraiment que je vais me faire battre par des conn**** de votre espèce ?! Pouvoir Ultime, le Boxeur enragé !!!

Riolu paniqua et perdu l'equilibre en voyant l'attaque

*C'est...c'est ma seule chance*

Il mit ses deux poings vers le singe cinglé

*Il faut que mon attaque le touche a tout pris, si ça marche, on a une chance de le vaincre*

Il ferma les yeux, il tremblait un peu

-Vibraqua puissance maximum !!!!!!

L'onde aquatique partit vers son adversaire qui ne pourrait l'eviter

*Si il est confus il se tuera lui même*

Riolu fut envoyer en arrière et tape dans un mur, il etait KO. Le choque fit tomber des briques qui assomèrent ses deux compagnons

-Il a raison. Nous entretuer ne servira à rien. Nous devons plutôt trouver une solution pour nous sortir de là...

Florior fut interrompu par deux nouvelles personnes qui levèrent ensemble leur pistolet vers eux.

-Personnes : Taisez-vous, vous deux ! pour qui vous vous prenez ? Depuis tout à l'heure, vous ne cessez pas de nous prendre de haut, en nous faisant croire que ne rien faire nous sauvera... Mais, nous, nous ne voulons pas perdre nos proches ! Vous n'avez peut-être rien à perdre à mourir, mais nous, on a une raison de survivre ! Alors comment- voulez-vous qu'on ait de l'écoute pour des personnes aussi insensibles que vous ?!

Florior resta un moment immobile, sans un mot, ni le moindre mouvement, les autres personnes présentes attendant une réponse de ce dernier.

Flash-back.

Florior était assis au chevet de Gaëlle, dans son laboratoire secret. Assis sur une chaise en acier, les mains serrés et l'air attristé, le scientifique regardait avec d'un regard vague et blasé sa partenaire de sciences, incapable de faire le moindre mouvement moteur. C'était tout juste si elle pouvait encore respirer, et si Florior n'était pas là pour la nourrir, elle aurait déjà trépasser. Il ne savait plus quoi faire. Ses yeux se remplissaient de haine à chaque fois qu'ils croisaient ce "Treize" jaune gravé au niveau de son bassin. Puis cela se muta en mélancolie lorsqu'ils croisaient le visage charmant mais figé de cette beauté morte, qui entraînait de légères larmes aux joues de Florior. Jusqu'à maintenant, il n'avait toujours considéré Gaëlle que comme sa collègue de travail, partageant ses passions et dont l'amitié indéfectible irait jusqu'au bout du monde. Mais aujourd'hui, en voyant cette dernière en si pénible état, et ens avant qu'il risquait de ne plus jamais lui adresser la parole, Florior avait compris. Il avait compris cette vérité fatidique... Il était tombé amoureux d'elle. Tout simplement. Sur ces pensées mélancoliques, Florior caressa la joue de Gaëlle, puis prît un air décidé, s'adressant à elle en espérant qu'elle le comprenne.

-Je vais te sortir de là, Gaëlle. Je te le promets. Je ferais... Je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour te sauver, et je n'expirerais pas mon dernier souffle avant d'y être arrivé. Je te le jure...

Et finalement, dans cet instant émotionnel, Florior hésita légèrement, puis prît l'audace de poser un baiser léger mais sincère sur la bouche de sa collègue. Peu importait qu'elle soit consciente et qu'elle voit cette scène. Il tenait absolument à lui faire comprendre sa détermination à la sauver. Puis finalement, il se leva et dût à regret aller ouvrir le bar pour la journée, se remémorant encore et encore cette promesse si difficile à tenir qu'il avait faîte à Gaëlle.

Fin du flash-back.

Florior grinça des dents et prît un air désabusé, presque énervé de ces préjugés, répliquant à haute voix :

-De... De quel droit vous permettez-vous de tels préjugés ?!Alors comme ça, vous êtes persuadés que pour notre aprt, nous avons rien à perdre à rendre l'âme ? Sachez que mon ami ici présent, Pazo, a déjà vécu la mort. Ca peut paraître incroyable, mais c'est la vérité. Et je peut vous dire qu'il n'a nullement envie de revivre ce cauchemar. Est-ce pourtant qu'il doit perdre l'esprit ? Quant à moi... J'ai une personne, qui compte infiniment pour moi, et à qui j'ai promis de revenir vivant... Et pourtant, malgré l'immense lien qui nous lie, croyez-vous que je suis prêt à tuer des innocents pour autant ?! Nan !!!! Absolument pas ! Et c'est là que se trouve la différence entre vous et nous que j'essaie si douloureusement de briser ! Nous avons tous des liens forts. Des proches, des passions, un avenir radieux, que nous souhaitons tous revoir. Mais il faut bien se dire que si nous, nous avons ce genre de liens, les autres aussi ! Croyez-vous vraiment honnête alors de faire durer vos liens au détriment de ceux des autres ? Cela ne fera que détruire nos propres liens, que de les faire survivre avec le remord d'en avoir sacrifier d'autres. Pour préserver nos liens, nous devons donc nous abttre ensemble, et ne pas plonger dans de vils mésalliances ! Comprenez-vous ce que je veut dire par là ?

Personne ne répondît. cahcun était pris dans une longue réflexion personnelle, mélangeant le regret d'avoir ainsi accusé à tort cet homme, puis le questionnement sur la triste vérité des dires de ce dernier. La jeune femme qui s'était avancer vers Florior, laissa tomber quelques larmes sur ses joues.

-Jeune femme : Mais... Mais... Je voudrais tant revoir mes proches.

Florior soupira et posa sa main sur l'épaule, tâchant de lui faire un sourire rassurant.

-Je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour te sauver, toi et tous les autres. Je vous le promets.

La jeune femme, émue, laissa tomber son arme, et les deux autres personnes finirent par faire de même. Anna fronça les sourcils. Il allait être difficile de les pousser vers l'auto-destruction, désormais. Florior s'apprêtait à trouver un plan, quand un fusil d'assaut vola jusqu'à lui. Avec réflexe, il l'attrapa au vol, et regarda son lanceur, le jeune homme qui avait déjà tué deux personnes, qui avait un grand sourire aux lèvres.

-M'enfin ,qu'est-ce que...

-Jeune homme : La ferme, je t'ai déjà dit ! Tu veut tous les sauver, n'est-ce pas ? Dans ce cas... Il faudra me tuer en duel pour ça !

Pazo était éberluer par le discours de Florior.
*Si c'est quelqu'un qui est proche de nous, je sais déjà qui c'est.*
Il était tellement éberluer qu'il resta plonger dans ces pensés, jusqu'à ce qu'un jeune imbécile lui lance un fusil d'assaut et le provoque en duel. Pazo s'approcha de Florior et lui dit :
-Tu...Tu va quand même pas accepter ?

Florior ne répondît pas, serrant les dents, et fixa le jeune homme dans les yeux. Celui-ci eut un petit sourire. Il prît une jeune fille sous son bras et pointa le fusil d'assaut sur son crâne. Celle-ci se mît à crier à l'aide, et Florior écarquilla les yeux.

-Jeune homme : Tu vas continuer à jouer au héros pacifiste ? Si tu refuses, je t'assures que je vais lui coller une balle dans le crâne !

-Jeune fille : Pi... Pitié, monsieur Florior... Sauvez-moi de ce monstre... Tuez-le, par pitié, j'ai pas envie de mourir... Snif...

Ce dernier était en train de ricaner. Florior regardait ébahi la jeune fille, puis avala sa salive, avant de s'adresser au jeune homme.

-Pourquoi fais-tu tout cela ?

-Parce que je supporte des gars comme toi, hé hé ! Tu n'as aucun sens de la survie, à cause de toi, nous allons tous périr, et ça, je refuse ! Ainsi, je veut te voir mort, afin de pouvoir me sortir de ce bordel ! Car comprends le bien, je dois survivre à tout prix, même si je dois tuer des milliers de personnes pour ça !

-Jeune fille : Mon... Monsieur... Je vous en supplie... Acceptez de l'affronter... Je ne veut pas... Mourir... Snifff...

Florior resta un moment interdit, chacun attendant sa décision dans une ambiance intense et silencieuse. Le scientifique semblait réfléchir, puis finalement eut un grand sourire narquois et leva son arme vers les deux personnes lui faisant face.

-Ouais, bon, c'est okay, si tu tiens vraiment à crever... Mais d'abord relâche cette fille.

Le jeune homme eut un grand sourire et relâcha la concernée, qui s'enfuît alors à toute jambe. Le jeune adulte leva rapidement son arme vers Florior, et dans un bruit grinçant les deux balles partirent. Ce fut alors l'horreur général. La balle du jeune homme frôla l'épaule de Florior, l'égratinant, puis partît dans le vide. Quand à celle de Florior, elle s'était planté, à la surprise générale... Dans l'épaule de la jeune fille, pourtant plusieurs mètres à gauche du jeune homme, et qui s'écroula au sol, gravement blessée.

Dark Colossinge eut un vil sourire, ses deux mains s'étant tranformés en deux gros gants rouges de boxe, et il lança son poing droit en avant, comme pour frapper le vide. Cela eut comme effet, à la grande surprise de Nostenfer, d'envoyer une légère onde de choc, qui détruisit l'ultime Vibraqua de Riolu et ses deux compagnons, désormais KO's. Le babouin enragé se tourna avec un air sadique vers le Pokémon volant.

-Dark Colossinge : C'est désormais ton tour d'y passer, héhé... Tu vas payer pour tout ce que tu m'as fait !

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Camille combattait en duel Lucius, à la loyal, aucun des deux n'arrivant à prendre l'avantage sur l'autre, étant actuellement à niveau égal. Celle-ci regarda de loin la situation. Tous les membres de la CDM présents, y compris Eric et Shana, étaient dégagés... C'était le moment. Elle repoussa violemment Lucius et cria à Luciole, dont s'approcher Drago et Lala :

-Camille : C'est le moment !

Depuis le fond du trou, Pyro cria à Luciole :
-J'ESPERE QU'ELLES SONT RESISTANTES !

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Une ombre bondissait de toits en toits, en ville, cherchant clones et membres de la CDM.
-Où vous cachez vous... ?

Pazo restait horrifier. Il ne pouvait rien à dire. Il lâcha finalement.
-Il faudrait peut-être la soigner ? La balle l'a transpercer et elle n'est pas rester, la soigner peut être simple.
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Akira soupira.
-Eh merde, j'allais buter l'autre imbécile aux cheveux bleues...

Les autres personnes présentes restaient ébahis, incapables du moindre mouvement ou de la moindre parole. Ils ne comprenaient plus rien à cette histoire. Même le jeune homme en laissa tomber son arme, regardant, complètement perdu, la jeune fille s'appuyait dans le vide, haletant avec douleur, sa main appuyé sur sa plaie. Florior eut un sourire carnassier et répondît d'un air fier à sa question.

-Ce ne sera pas la peine, surtout dans ton cas à toi, n'est-ce pas ?

Il s'adressait à la jeune fille, qui fixait le sol/vide, avant de laisser échapper un petit sourire, puis, à la seconde surprise générale, celle-ci reprît sa forme d'origine, et redevînt Anna, qui regarda Florior d'un air démoniaque.

-Anna : Eh bien, voilà qui est surprenant... Je me demande comment tu as découvert qui j'étais.

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Jerebip fronça les sourcils, et envoya alors son capstick sur le Cizayox, qui, surpris, stoppa son attaque et esquiva les boucles avec difficulté. Kévin écarquilla les yeux. Il ne s'attendait pas à ce qu'il l'utilise dans cette situation. Jerebip profita de ce moment, et fît attaquer Hydrocanon à son Pingoléon. Le Pokémon ne se fît pas attendre, et l'attaque frappa de plein fouet le Cizayox adversaire.

-Kévin : Argh, pas ça...

-Jerebip : C'est le moment ! Capture, GO !

Les boucles s'enroulèrent sur le Cizayox quasi KO, qui ne pouvait contre-attaquer, puis finalement, les sentiments d'amitié de Jerebip lui furent transmis. Il avait réussi à capturer Cizayox.

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Eric, Shana, The Kid, Lucius, Lala, Drago, Akira, Marvin, Treize et Saturo... Tous avaient été piégés par les griffes mortelles de ces mantes religieuses. Saturo soupira.

-Saturo : Eh bien, on dirait qu'on s'est fait avoir.

-Camille : En effet ! Notre plan à moi et à Luciole a parfaitement fonctionné ! Désormais, si l'un d'entre vous fais le moindre mouvement suspect, il se fera égorgé comme un porc ! C'en est fini !

Elle disparut dans l'égout où se trouvait Pyro, le souleva, puis le ramena d'un grand saut en dehors, s'empressant de s'éloigner de lui. Bah oui, à cause de l'odeur... Mais finalement, elle redevînt sérieux et se tourna vers le pauvre Treize, horrifié, et elle s'en approcha d'un air noir.

-Camille : Toi... Si tu veut pas mourir égorgé, je te conseille de libérer de sa paralysie immédiatement ma Maman !

Servius le fixa en ricanant et tendît son arme vers eux.

-Servius : Tu crois vraiment que j'ai quelque chose à foutre de ces gens-là ? C'est tant mieux au contraire, j'aurais l'occasion d'avoir tous les honneurs pour vous avoir tabasser, hahaha !

Camille le fixa intensément et sérieusement. Ils allaient devoir l'affronter. Il s'en fichait de la vie de ses congénères, alors autant laisser tomber...

-Camille : Bien, dans ce cas, on va te foutre une petit rouste. Luciole, tu doit être épuiser, reste en retrait pour le moment.

Elle se mît aux côtés de Pyro et Liouliou face à Servius, ce dernier prêt à attaquer.

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Kévin regarda son Cizayox être capturé, ébahi. Il s'était fait vaincre si facilement. Il ignorait que Jerebip était devenu un stratège aussi radical dans ses décisions. La défaite fut plus amère encore quand son petit frère et sa petite soeur, Kénan et Kaithlyn, arrivèrent attristés.

-Kévin : Laissez-moi deviner... Vous aussi, vous vous êtes pris une raclée ?

-Kaithlyn : Oui... Je suis sincèrement désolée, Kévin...

-Kénan : Killian va nous tuer... On ferait mieux de le prévenir de suite, non ?

-Kévin : En effet... Allons-y immédiatement.

Kénan et Kaithlyn partirent dans le couloir, et Kévin montra du doigt Jerebip, un sourire aux lèvres.

-Toi... Sache que je n'oublirais pas cette humiliation...

Et il partît à la suite de ses deux compagnons. Peu après ça, Hans et Nick arrivèrent aux côtés de Jerebip.

-Hans : Moi et Nick, nous avons vaincu nos adversaires, et toi aussi, apparemment.

-Nick : Nous ferions mieux de continuer, nan ?

-Jerebip : En effet. Mais j'ai l'impression... Que tous ces combats n'étaient que deqs préludes, et que la véritable bataille va seulement commencer.

Drago soupira et regarda les autres membres de la maléfique organisation.
Drago:-Je crois qu'on va être pris dans la bataille.
Il regarda vers Akira.
*Ce serait vraiment c*n de mourir ici sans avoir pu lui dire...*