D gray-mon : Saison 2.

Florior eut un petit sourire à la remarque négative de Sparky, et lança d'une voix tranquille :

-Ne t'inquiète pas, on s'occupera de ça en temps voulu. Mais pour l'instant, retournons à la ville, d'accord ?

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Peu de temps après, Nina rentra dans la salle de bains et s'adressa gentimment à Camille.

-Nina : C'était agréable ? Allais, il est temps de te présenter à notre chef, autour d'un bon repas ! Tu viens ?

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Le professeur pianta hocha nerveusement la tête.

-Professeur : Eh bien, il est déjà venu ici il y a plusieurs années, sur cette île même, et il avait laissé sur place des dizaines de cristaux de ce genre. Il n'est pas resté longtemps, mais j'ai eu le temps de le voir se parler à lui-même en tant que Shaneric, ou Eric et Shana, comme un schizophrénique, en parlant d'une certaine Congrégation du Mal...

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Death the Kid écouta attentivement Pyro, et eut un petit sourire à sa question.

-Death the Kid : En notre possession, ne t'inquiète pas pour ça. Néanmoins, tu te doutes que nous avons habituellement un peu du mal à croire à ce genre de salades, ce pour quoi mes comapgnons t'ont attaqués. Mais tu as de la chance, puisque nous avons un témoin de confiance ayant vu la scène. Blair !

Une magnifique femme, aux habits de sorcière et au formes plus que généreuses, rentra naïvement dans la cellule et salua de la main Pyro.

-Salut, ravie de te revoir ! Moi c'est Blair, enchantée ! ♪

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Link hocha la tête.

-Link : Oui, tu peut t'en servir pour les lancer sur tes adversaires. Ce sera un peu dûr pour un adversaire aérien, mais ne t'inquiètes pas, on contrôle la situation...

Mais soudain, le Rayquaza étant arriver rapidement sur eux attrapa avec ses mains Link et Yoshi, se tournant fier dans le ciel vers Luciole, faisant alors chargé une boule lumineuse dans sa bouche pour lui tirer dessus, tandis que ses nouveaux compagnons se débattaient vainement dans ses mains fermes. Finalement, Rayquaza tendit sa tête en arrière puis la redressa vivement, lançant ainsi la boule électrique sur Luciole.

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Anna eut un petit sourire et s'installa par terre.

-Anna : Bien, commençons.

[A partir de maintenant, la partie avec Anna et Pazo sera seulement composé de FB postés par moi-même, donc plus besoin de poster avec lui jusqu'à ce que je te lise le contraire, liou ;D
Blair : http://data0.shonenblog.com/souleater/mod_article644631_13.png

Retournons huit ans en arrière, dans une ville comme une autre, où habitait un couple comme un autre. Ils se nommaient Monsieur et Madame Muramaki. Cette dernière était enceinte d'une fille, et un beau matin, le moment fut venu, et dans un hôpital comme les autres, la femme accoucha malgré quelques difficultés à faire sortir le bébé, son homme et des sage-femmes étant heureusement pour la soutenir. Finalement, la petite fille sortît, et une fois le cordon coupé, la sage-femme donna le bébé au père, qui s'approcha de Madame Muramaki afin de lui montrer leur progéniture. Mais tout bascula alors d'un coup, en particulier le père quand il glissa sur una tâche de sang, le crâne de l'enfant se brisant dans un bruit terrifiant contre le sol, dans une mare de sang. A ce spectacle, la mère hurla au désespoir, les sage-femmes paniquèrent et coururent en tout sens, et le père, s'en voulant intensément et totalement paralysé, tomba en larmes devant le corps détruit de cet enfant qu'ils avaient eu temps de mal à mettre au monde. Peu après, les parents furent congédiés et déplacés dans leur chambre pendant qu'on "nettoyait" la scène catastrophique, laissés seuls, en larmes, Monsieur Muramaki rempli de remords et Madame Muramaki de désespoir. La mère, qui ne l'était déjà plus, lança d'une voix ensanglottée :

-Madame Muramaki : Pourquoi cela arrive-t-il à nous ? Nous voulions tellement cet enfant... Je ne t'en veut pas, chéri, mais... Pourquoi nous ?! JE VEUT REVOIR MA FILLE !!!

-??? : Du calme, voyons, il y a des gens qui se reposent dans cet hôpital...

Les deux parents écarquillèrent les yeux et se tournèrent vers la source de cette voix calme et malicieuse, sursautant de peur en voyant, tranquillement appuyé contre un mur de la chambre, les bras croisés avec quelque chose de blanc dans leur creux, et un grand sourire au visage, un homme d'une vingtaine d'années, aux cheveux gris décoiffés, mais ne dépassant pas l'oreille en longueur (contrairement à maintenant, étant deux fois plus longs). Celui-ci ricana et s'approcha tranquillement du couple.

-Monsieur Muramaki : Qui-qui-qui êtes vous ? Et comment êtes-vous entré ici ?!

-??? : Du calme, voyons, vous vous faîtes du mal... Ces questions n'ont pas à avoir lieu, je ne suis qu'un simple visiteur... J'ai crû comprendre qu'il y a eu un léger accident à la naissance de votre enfant ?

-Mr Muramaki : Oui, mais... Comment savez-vous fait ça ? Et en quoi ça vous concerne ?!

-Ah, là là, vous n'êtes pas doué pour la communication vous... Cependant, c'est compréhensible, dans votre état... Dîtes-moi, quelle serait votre réaction si vous appreniez que tout n'est pas perdu, et que vous pouvez encore récupérer votre enfant ?

Les deux parents écarquillèrent les yeux à ces mots, et ce ne fut qu'à cet instant précis qu'ils remarquèrent la couverture blanche dans les bras de l'homme mystérieux, semblant contenir un... bébé.

-Mr Muramaki : Qu'est-ce que vous voulez dire ? Ne me dîtes pas que...

-??? : Si, il s'agit bel et bien de votre fille. Vous voulez la prendre ?

Le père s'était déjà levé et avait pris des bras de l'homme en gris l'enfant, la tenant délicatement, et l'approchant de Madame Muramaki. Ce fut avec stupeur et joie qu'ils reconnurent la petite fille innocente qu'ils avaient perdus un peu plus tôt. Pleurant de joie, le père tourna son regard vers Shabaza et commençait déjà à s'en aller, vers la fenêtre.

-??? : Ne dîtes jamais à personne ce qui vient de se passer. Ne vous inquiètez pas pour les infirmières, j'ai tout arrangé, elles feront comme-ci votre accouchement s'était passé normalement.

-Mme Muramaki : M-m-merci beaucoup, pour ce que vous avez fait...

-Mr Muramaki : Merci... Mais qui êtes-vous au juste pour faire un tel miracle... Un ange ?

L'homme aux cheveux gris tourna son regard vers le père et eut un petit sourire.

-??? : Pas tout à fait... Bref, je vous souhaite une agréable journée. Adios !

Et il disparut comme par enchantement. Le père se mît aux côtés de sa femme, qui tenait maintenant l'enfant les larmes aux yeux.

-Mr Muramaki : C'est un vrai miracle, chérie... Comment allons-nous l'appeler ?

-Mme Muramaki : Hmm... On va l'appeler Anna... Anna Muramaki !

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Une explosion se fît soudain entendre dehors par Liouliou, Tanita et le professeur, et ce dernier se mît à paniquer.

-Professeur : Eh, c'était quoi ce bruit ?

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La femme hocha jovialement la tête et l'instant d'après, c'était transformé en chat.

-Blair : Tout à fait, tu es intelligent, mon gros. Je suis un chat aux pouvoirs magiques !

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Nina resta un moment statique face à cette demande, mais au bout de quelques instant, une voix échappa de son corps de cire :

-Nina : Bien sûr, j'allais justement te le proposer... Tu veut quelle genre de tenue ? Nousa vons de tout en garde-robe, même, et surtout pour les garndes eprsonnes comme toi !

Liouliou ce demandait si les cristaux n'étaient pas en fait la source du pouvoir de Shaneric lorsqu'un bruit d'explosion retentit.

*Oh oh... Je crains le pire...*

Il sortit de la maisonnette en courant puis , pour plus de sureté, il activa son pouvoir pasarite.

Liouliou fronça les sourcils en voyant les lettres d'eau dans les cieux.

*Si la personne qui m'attends là bas contrôle l'au, je suis pratiquement sur de savoir qui c'est. Et si c'est bien lui... Ca expliquerait pourquoi autour de moi les maisons sont détruites mais les Piantas ne sont pas blesser...*

Après avoir pousser un long soupir, Liouliou s'envola et partit vers l'endroit qu'indiquait la flèche bleue.

Tanita se rua hors de la cabane. Le village des Piantas était ravagé, et ses habitants couraient dans tous les sens. La jeune humaine soupira, monta sur un rocher et appela tous les Piantas. Elle les compta minutieusement. Il n'en manquait aucun. Tant mieux.
Elle divisa son troupeau en trois groupes et les attribua chacun dans une cabane différente. Puis elle retourna dans le laboratoire du professeur, attendant que Liouliou revienne.

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Camille posa un genou sur le sol et regarda la poupée.

- Choisis, peu m'importe.

Sept années avaient passés depuis la naissance d'Anna, et elle eut un début de vie tout à fait agréable. Fille sage et obéissante, ses parents étaient fiers d'elle, et l'aimaient plus que tout, ce qui était également réciproque. Première de sa classe à l'école, Anna était une petite surdouée plein d'ambitions, et bien qu'elle était considérée comme très "matûre" pour une fille de son âge, elle restait cette jeune âme naïve et innocente auquelle on faisait encore face à cette âge. Sportive et intellectuelle à la fois, elle était très populaire et ne manquait pas d'amis. Bref, une vie normale voir géniale, qui est considérée comme un miracle avec ce qui s'était passé à sa naissance, et qui restait dans l'esprit de ses parents. Mais tout bascula peu après son septième anniversaire, lorsqu'elle commença à faire des cauchemars d'elle en train de se faire noyer. Les parents, plutôt inquiets face à ce problème mystérieux et tout à fait inédit, l'emmenèrent voir un psy, puis un autre, et etc... Mais les cauchemars ne s'arrêtaient pas. Pire, ils s'amplifiaient, et tout le monde s'inquiètait pour la pauvre petite Anna, si frêle et gentille. Puis un jour, les parents reçurent une lettre, un psychologue très connu dans la région, Monsieur Newton qui voulait examiner le cas d'Anna, dont il avait entendu parler. Prenant cette proposition pour une occasion en or, ils prirent immédiatement rendez-vous, et peu après, la fille et ses parents se retrouvaient dans la salle d'attente du dit psychologue. La secrétaire demanda à Anna de venir, laissant les parents dans la salle d'attente pour plus d'autonomie pour la jeune fille, et amena la petite dans la salle du psychologue, qui l'accueilla en souriant. Anna regarda l'homme d'un air sain, cet homme aux cheveux gris décoiffés et au sourire rassurant.

-Coucou, ma petite Anna, je suis le docteur Newton.... Mais entre nous, tu peut m'appeler Shabaza, d'accord ?

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Flash-back.

Saturo Dokuka regardait Shaneric explorer chaque monde de l'univers où avait été envoyé leurs adversaires. Le fusionné était perplexe, de ce qu'il voyait, les héros avaient disparus dans une lumière éblouissante tout à coup. Etait-il possible que... Shaneric se tourna vers Saturo, Marvin, Treize, Drago, Lucius, Servius, The Kid et Lala, qui attendaient sur la plaque que leur compagnon finisse son affaire. Ce dernier leur lança d'une voix sérieuse :

-On a un léger problème dans le plan. Préparez-vous, je vais vous transférer par binôme dans un monde parallèle.

-Saturo : Que se passe-t-il exactement ?

-Shaneric : Nos proies se sont dispersés dans d'autres mondes, je compte sur vous pour les éliminer. Et pas de quartiers, Arn ne supportera pas le moindre écart.

Fin du flash-back.

Saturo regarda Liouliou arriver d'un air impassible, et lui lança de sa voix monotone :

-Saturo : Merci d'être venu, Nicolas. Je suis désolé de t'annoncer là, mais nous devons t'éliminer, et ce coup-ci, je me dois d'être sans pitié.

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Death the Kid eut un sourire malicieux en entendant la première phrase de Pyro, mais reprît son air sérieux à la deuxième. Il s'approcha de Pyro et le détacha, reculant à nouveau.

-Death the Kid : Ne t'inquiète pas pour ça, tu es libre. En revanche, mon père souhaiterait te voir en personne, et un refus me semble peu faisable.

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Florior, Jerebip, Mimine et Sparky arrivèrent en ville, et furent accueillis par une foule en délire. Cependant, des soldats intervînrent et amenèrent les quatre compagnons dans une tente à part, où se trouvait un général haut gradé et les deux agents venus voir Florior il y a peu. Ce dernier prît un air sérieux, et prît une pause respectueuse face au général qui leur faisait face.

-Mes honneurs, général Arkoch. Cela faisait longtemps...

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L'attaque allait frapper Luciole de plein fouet malgré son bouclier de Pikmins, quand soudain, une ombre s'interposa devant lui et fît apparaître un bouclier hypersonique, qui repoussa l'atatque. Au même moment, une autre ombre sauta dans les airs, et telle une étoile filante, trancha légèrement les mains de Rayquaza, libérant par l'occasion Link et Yoshi. l'ombre, Link et Yoshi tombèrent dans la forêt, tandis que le renard humain qui venait de sauver notre héros, en tenue de pilote spatial, fît un pouce levé suivi d'un clin d'oeil à Luciole.

-Hey, petit, je m'appelle Fox Mc Clound, t'es okay ?

Liouliou se posa à terre, juste devant ses deux ennemis.

-Merci d'être venu, Nicolas. Je suis désolé de t'annoncer là,
mais nous devons t'éliminer, et ce coup-ci, je me dois d'être sans
pitié.

Liouliou eut un faible sourire.

-Hmm, je vois... Vous vous n'allez pas me laisser partir, vous combattrez jusqu'à la mort. Dommage.

*Dans ce cas, autant y aller tout de suite et finir ça rapidement...*

Il fonça vers Saturo et tenta de lui asséner un coup de hache.

Death the Kid eut un petit sourire, et fît mine de sortir.

-Death the Kid : Je t'y conduit de ce pas. Suis-nous, Blair, tu pourrais toujours nous être utile.

-Blair : Okay ! ♪

Ainsi, Pyro fut conduit par ces deux étranges personnages, à travers les longs couloirs sombres de la prison, puis en montant des escaliers, l'amena au sein de ce qui ressemblait à une école, des adolescents et des professeurs passant tranquillement dans les couloirs, jetant pour certains un regard étonné au petit trio. Puis, au bout d'une bonne promenade dans les couloirs de cette immense bâtiment, Death the Kid fît entrer Blair et Pyro dans une immense salle blanche, avec pour seule décoration un long chemin parcouru d'étranges "guillotines" faisant plus mine de décors que d'armes.

-Voici la Death Room, où nous pouvons principalement prendre contact avec mon père. Il nous y attend avec d'autres membres de notre organisation.

Sur ces mots, le jeune homme fît avancer ses invités le long du chemin, assez long, avant d'arriver finalement à une estrade blanche assez vaste, avec au milieu un miroir étrange, et un groupe de personnes qui attendaient à côté de ce dernier. Ils étaient huit. Parmi eux étaient reconnaissable la jeune fille blonde dénommée Maka, ainsi que le garçon aux cheveux bleus, Black Star. A côté de ces deux-là se trouvaient deux personnes de leur âge, un garçon à l'allure cool et désinvolte, aux cheveux blancs, et une belle fille aux cheveux bruns en queue de cheval, l'air assez timide et sympathique. Vient ensuite deux autres filles se ressemblant assez, comme deux soeurs, l'une joyeuse et naïve, l'autre plutôt sérieuse mais tout de même féminine ; l'une aux cheveux blonds longs, l'autres aux cheveux blonds, mais assez courts... L'une avec une taille de poitrine assez correcte, l'autre dépassant largement la moyenne autorisée. Enfin, deux adultes se tenaient au bout de la file, l'un avec un ensemble classe et des cheveux rouges, l'autre avec un style plus excentrique, ressemblant à celui d'un scientifique, avec une peau recousue de partout, un immense clou dans sa tête, et des lunettes et des habits de laboratoire faisant penser à un Frankenstein moderne. La petite troupe regarda d'un air curieux le nouveau venu, désormais au centre des préoccupations, tandis que les trois arrivants montaient sur l'estrade par des petits escaliers blancs. Une neuvième personne, un immense homme recouvert entièrement d'une cape noire, et d'un masque blanc de squelette à la crédibilité plus que controversée, regarda Pyro d'un air impassible... Ou du moins, difficile à deviner avec son masque ne laissant rien voir de sa personne. Death the Kid s'avança légèrement tandis que Blair restait en arrière, et s'adressa à l'homme en cape d'un air solennel.

-Père, voici le fameux Pyro venu de nul part, que nous avons interceptés dans la ville. Il semble comfirmer l'histoire de Blair concernant son apparition mystérieuse, et prétend venir d'un autre monde, parallèle à celui-ci.

Il y eut alors un long silence dans la salle, le père de Death the Kid fixant de son masque Pyro d'un air interrogateur, puis au bout de quelques instants, il se cabra, et fît apparaître une immense main blanche ressemblant à un gant géant de sa manche, la tendant en l'air, avant de lâcher d'une voix malicieuse et excentrique, presque gamine :

-Hello, hello, jeune étranger, je me nomme Shinigami, mais tu peut m'appeler Shingami-sama ! Alors comme ça tu viens d'un monde parallèle ? C'est cool ça ! Le café y est bon, s'il existe seulement ?

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Saturo ne bougea pas, regardant Liouliou lui fonçait dessus, prêt à répliquer, quand soudain, Servius surgît devant le flemmard de service et para la hache du héros aux cheveux bleus, un ricanement puissant émanant de sous son armure.

-Servius : Je m'occupe de lui, Saturo, contente-toi de garder l'eau en pression sous mes pieds !

-Saturo : Comme tu veut...

Servius repoussa violemment Liouliou en arrière, avant de sauter en sa direction et de tenter un violent coup d'épée verticale.


[Pour Pyro, tous les personnages apparus dans l'ordre de descriptions : Cheveux blancs ; Fille aux cheveux bruns ; Soeurs blondes ; Homme aux cheveux rouges ; Scientifique ; Shinigami ]

Liouliou fronça les sourcils.
D'un coup de fouet, il réussi à attrapper Servius au poignet, stoppant ainsi l'attaque, puis il tenta de lui asséner un coup de hache en plein visage.

*Je dois vite l'éliminer pour m'occuper de Saturo... Si il redeviens fou comme la dernière fois, les habitants du village seront fichu...*

Sparky salua le general sans dire un mot. Ces pokémons etaient en retrait, surveillant les militaires du coin de l'oeil, bien conscient qu'ils etaient...dans le petrin.

*Bien, je pense qu'il va falloir laisser Florior regler ça, il est mieux placer que nous.*

Il regarda Mimine. Il etait arrivé comme ça et se retrouvait embarquer dans cette histoire. Le combat contre Grolem....Ils en avaient bavés tout les deux. Mais il ne savait rien du tout.

Anna resortît une demie-heure plus tard en courant dans les bras de ses parents, l'air heureuse. Son père le prît dans ses bras et s'adressa à sa fille d'un air rassuré.

-Père : Ca va bien, Anna ? Tu as l'air toute réjouie.

-Anna : Oh wii, papa, ça va très bien ! Le monsieur était très gentil et m'a fait une pérapie ! Il m'a dit ce qui n'allait pas et m'a expliquait comment faire pour plus faire des cauchemars !

-Mère : Ah... Et il faut faire quoi ?

Anna eut un petit sourire d'enfant.

-C'est un secret ! Le docteur Newton m'a dit que si je voulais que ça marche, je devais rien vous dire avant que j'ai réglé mon problème.

-Père : Ah ? Et tu le régleras quand ?

-Vous verrez bien, c'est une surprise !

Les parents de la jeune fille furent étonnés, mais s'en contentèrent, faisant confiance aux compétences plus que célèbres du docteur Newton, bien que celui prétexta de ne pas pouvoir les voir après la séance de leur fille. Le soir-même, vers 21 heures, alors Madame Muramaki était tranquillement assise dans son bain, elle entendît la porte s'ouvrir et Anna rentrer, ce qui la troubla. Elle s'adressa à elle d'une voix inquiète :

-Chérie, qu'est-ce qui se passe ? Tu vas bien ? Tu n'as pas encore fait un cauchemar j'espère.

-Anna : Non Maman, je veut juste résoudre mon problème de cauchemars, et je veut que tu m'aides.

-Vraiment, et je dois faire quoi pour t'aider ? Je dois sortir du bain ?

-Non, pas du tout. Je dois te rejoindre dans le bain justement, toi me prenant dans tes bras.

La mère était vraiment étonnée, mais se souvenant que les cauchemars de sa fille étaient des noyades, elle se dît qu'il devait sûrement s'agir d'une thérapie afin de rassurer l'enfant et retirer une quelconque phobie de l'eau. Aussi accepta-t-elle en faisant confiance au talent de Newton.

-Mère : Très bien, déshabille-toi et rejoins donc moi, Anna.

La petite fille sourît gentimment et retira son pyjama, avant de rejoindre sa mère dans son bain, cette dernière prenant sa fille adorée dans ses bras, et lui demanda d'une voix bienveillante :

-Bien, et maintenant ?

-Maintenant, je dois faire ça.

La voix d'Anna venait de devenir sombre, et elle prît la tête de sa mère et la cogna de toutes ses forces contre le rebord de la baignoire. La mère s'évanouit, avant de lâcher Anna et de couler doucement dans le bain, où elle se noya en silence et dans son coma, du sang venant de sa blessure à la tête envahissant lentement la baignoire. La jeune fille eut un grand sourire sadique et sortît de la baignoire, avant de mettre une pierre qu'elle avait au préalable cachée dans un placard au beau milieu de la salle, entre la baignoire et la porte de la salle de bains, et de cacher ce caillou sous le haut de son pyjama. Elle feînt alors un cri terrifiée et hurla :

-Papa, aide-moi !!!! Maman est en train de couler dans l'eau !

Le père en question arriva en une vingtaine de secondes chrono, ouvrît la porte, et envoyant le corps de sa femme et le sang qui recouvrait la baignoire, l'homme prît son courage à deux mains et fonça pour la sauver. Bien évidemment, il trébucha en plein dans la pierre et tomba en avant, se cognant violemment contre le bord de la baignoire et s'évanousisant à son tour. Anna eut un petit sourire malicieux et souleva avec diificulté le poids de son père, le mettant dans le bain empilé sur sa femme, où s'y ajouta son sang et où il commença à se noyer de la même façon que Madame Muramaki. Anna, encore nue et recouverte du sang de sa mère, regarda la scène en ricanant d'un air mauvais, et lâcha :

-Et voilà ! Le problème est réglé !

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Nina hocha la tête, et lui fît enfiler une magnifique robe rose de princesse comme celle dans les contes de fées (ce qui, bien évidemment, ne pouvait que plaire à une gamine comme Camille), puis elle confia subtilement au passage son arme à une autre poupée en porcelaine, avant de conduire Camille dans le couloir par où elles étaient arrivées.

-Nina : Bien, notre maître vous attend.

Bien plus tard, après avoir traverser de nombreux couloirs patiemment, Camille et Nina arrivèrent devant une porte en velours rouge faisant grâce d'une haute lignée, apparemment. La petite poupée s'arrêta devant la porte et se tourna vers Camille.

-Voilà, nous y sommes. Pour votre bien, je vous conseille d'obéir aux demandes du chef et de ne pas lui manquer de respect, il est assez susceptible, d'accord ?
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Shinigami rigola en entendant la réponse de Pyro, et lui tapota gentimment la tête.

-Shinigami : Merci bien ! Tu m'as l'air vraiment sympathique comme étranger. M'enfin bon...

Il prît alors une voix beaucoup plus sérieuse.

-Et si tu m'expliquais précisément comment tu as atteri dans ma ville ?

Suite aux interminables explications de Pyro sur sa situation, plusieurs des personnes sur le côté s'étaient endormis assis, debouts ou même allongés, et même le Shinigami sembla s'étirer d'une longue léthargie quand notre héros eut fini son discours. Il lança d'une voix joviale :

-Shinigami : Un café ? Plus tard, pourquoi pas, ça nous fera du bien à tous ! Mais avant ça, j'aimerais que tu me montres ce fameux cristal, il m'intrigue beaucoup...

Le Shinigami prît le cristal de Pyro avec sa main blanche géante et l'examina avec intérêt, avant de s'adresser à l'homme aux airs de scientifique :

-Stein ! Pourriez-vous me dire si vous reconnaissez ce genre de cristal ?

Le Stein en question acquiesa et s'approcha d'un air nonchalant du cristal en question, avant de sortir l'une de ses mains de ses poches et de le regarder d'un air impassible. Soudain, il écarquilla les yeux.

-Stein : Oh que oui, je connais. C'est une Acarlyte.

Tout le monde dans la salle eut l'air surpris (sauf le Shinigami puisqu'il portait un masque) en entendnat ce mot, et l'homme aux cheveux rouges lança à Stein d'une voix stupéfaite :

-Une Acarlyte, tu es sérieux ? Mais ce n'était pas sensé être un cristal "épuisé" ?

-Stein : Dans ce monde, oui, Spirit. Mais d'où vient ce Pyro, il est tout à fait possible qu'il en existe. Apparemment, ce serait en rapport avec ce fameux Shaneric. Je suis à vrai dire fasciné, c'est la première fois que je vois une Acarlyte "active". Ca explique bien des choses...

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Nina hocha la tête et ouvrît la porte, amenant Camille dans une magnifique salle très luxueuse, et entièrement éclairés par des bougies disposés sur les murs, au plafond et sur la table à manger. Celle-ci faisait cinq mètres de long pour un mètre ou plus de large, était construite dans un bois de qualité supérieure, et était recouverte d'une nappe fine et blanche, en soie. Sur celle-ci se trouvait d'innombrables victuailles de toute sorte, et il y avait deux chaises à chaque bout de la table : Une du côté de Camille et une autre cinq mètres en face, où était assis quelqu'un. C'était un homme de cheveux roux et à la peau étrangement blanche, avec un chapeau noir sur la tête. Mais bizzarrement, le plus étonnant semblait être le fait qu'il soit humain, parmi toutes ses poupées. Il était en train de manger quand il vît Camille, et se stoppa net. Il posa ses couvercles et regarda la magnifique jeune fille d'un regard profond.

-Bonjour, Camille. Je t'en prie, assied-toi à ton aise.

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Servius ricana en le voyant attraper son poignet avec son fouet.

-Servius : Me sous-estime pas ! Tu m'aura pas si facilement !

Et avant que Liouliou ne puisse attaquer, Servius attrapa le fouet et s'en servît comme d'une laisse pour propulser son adversaire en arrière, puis dans les airs, avant de se débarasser du fouet, et de sauter haut dans les airs pour profiter de ce moment de déstabilisation de Liouliou et le trancher en deux d'une redoutable attaque horizontale.

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Le général dénommé Arkoch eut un sourire sympathique.

-Arkoch : Repos, ancien soldat. Alors, vous avez fait parler de vous ces derneirs temps vous savez.

-Je n'ai pas fait grand chose pourtant, nous ne faisons que nous défendre avec nos moyens contre un terrible danger.

-C'est discutable, mais pour être franc, je suis de votre côté dans cet affaire sur certains points.

Il se tourna vers Sparky et lâcha d'une voix bienveillante :

-Dis-moi, jeune homme, sais-tu pourquoi tu es ici, et pourquoi tu as combattu aujourd'hui ?

Camille sourit et trépigna en voyant la belle table recouverte d'autant de bonnes choses. Sur le moment, elle eut envie de se jeter dessus comme une sauvage et de tout manger... Mais ça ne se faisait pas, voyons.
Sous l'ordre de l'homme roux, il s'assit.

[Edit : Au fait Stendhal tes traits déforment assez violemment ma page, c'ets pour ça que je les change ]

Liouliou tomba en arrière, mais évita l'attaque d'un cheveu. Il eut alors une idée.

*Il rebondit sur l'eau... Ca semble logique, Saturo contrôle l'eau, j'imagine donc qu'il peut la durcir à un point si haut qu'on pourrait marcher dessus, mais... Si je la glace, qu'est-ce qui ce passerais ?*

Il fonça à tout allure vers l'eau et la glaça complétement, puis il fonça vers Servius et tenta de lui donner un puissant coup de hache dans le ventre.